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 THE DEADFAST CLUB • 1/4

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MessageSujet: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyDim 22 Mar - 17:42

description du caractère : au choix.

où est-ce que votre scénario se situe a

u sein du contexte du forum ?

Avant sa naissance, ses géniteurs ont été victimes du démon qui se baladait au gré des songes. Même s’il n’avait jamais vraiment compris ses somnifères qu’il devait incessamment ingurgiter pour retrouver Morphée, le môme l’avait fait sans discuter. À vrai dire, s’il n’obéissait pas aux ordres de son paternel, c'était la raclée assurée. À l’annonce de ce nouveau décès qui a su faire frémir le commun des mortels, Deandre reste sceptique. Malgré le tumulte qui sévissait à Springwood High School — entre racontars et murmures horrifiés ; il n’arrive pas à comprendre l'atrocité de ce décès aux effluves de fantôme du passé ...
LONG WAY DOWN

En lui donnant la vie, sa génitrice a péri. Accouchement qui a mal tourné générant une hémorragie ; le sang qui s’était écoulé du corps de X l’avait entraîné dans les méandres du Styx. Ainsi, Deandre n’a jamais connu sa mère. Si son paternel s'était occupé de lui ; ce n’était qu’un euphémisme. Coups et blessures ; cris et torpeurs — et le Branson avait été élevé par un alcoolique chronique : foutrement violent. Roué de coups, les hématomes creusaient sa peau diaphane. Avec les années, son père se fatigua — affaibli par l'alcool. Si les coups étaient toujours de mise, la violence psychologique augmenta. Les alcools forts ayant meurtri le corps du chef de famille, les mots et paroles blessantes fusèrent. Ô grand jamais il n'en parla — à qui que ce soit. Endormi par des litres de Scotch, leurs confrontations se firent moins redondantes. À son entrée au lycée, Deandre vît ce renouveau comme une occasion — une occasion d’être quelqu'un d’autre. Dès lors, il se créa une existence factice ; glorieuse, délicieuse. En réalité, il n'eût pas besoin de faire grand chose. Son magnétisme naturel — hérité de son père ; envoûta ses pairs. Dès lors, on l’adula — et il en joua. Malgré son amour inconditionnel pour Maureen — et suite à ce qu’il pensait être une trahison orchestrée par celle-ci ; il s’était rapproché de Lilie. Elle était tout ce qu'il avait toujours voulu être. Riche, divine, aimée par ses géniteurs : traitée comme une reine. Aux antipodes de l'existence misérable qu'il exécrait. Car, tandis que son patriarche le couvrait de coups, celui de Lilie la couvrait d'or et de pierres précieuses. Finalement, c’est cela qu'il aimait chez elle. L'idée même de vivre une épopée semblable à la sienne ; et non réellement sa personnalité. Froide, hautaine : méchante — loin de Maureen qui hantait toujours ses pensées. Être avec Lilie lui donnait pourtant l’impression de briller, d’être un peu plus près des étoiles. Parce que Deandre, c’est ce cliché du mec que tout le monde adule, bien qu'il ne fasse rien d'exceptionnel. Deandre, c’est le genre de gars à la beauté incongrue, diaphane. Loin des faciès des statues grecques, au corps robuste. Deandre, il est de ceux qui aiment la littérature et la poésie ; ancré dans le mal du siècle. Ô spleen indécent, une cigarette toujours coincée entre ses chairs. Qui cache, se détache — dont les maux deviennent des mots ; gravé dans son carnet à idées. Deandre c’est le gars qu’on idolâtre, qu’on désire être. Le gars mystérieux, qui attise la curiosité du commun des mortels — et qui pourtant sévit un enfer personnel.
DEANDRE BRANSON — libre

words are futile devices
nom complet : deandre branson. surnom(s) : au choix. date de naissance : au choix. lieu de naissance : springwood, ohio. nationalité et origines : au choix. situation civile : au choix. orientation sexuelle : au choix. études : high school sweetheart. situation financière : au choix. particularités : au choix. groupe : better lock your door. célébrité choisie : timothée chalamet (négociable).

THE DEADFAST CLUB

WHEN YOU GROW UP,
YOU HEART DIES

Haut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide.





Dernière édition par Maureen Prescott le Dim 19 Avr - 19:38, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyDim 22 Mar - 19:48

description du caractère : au choix.

où est-ce que votre scénario se situe au sein du contexte du forum ?
Avant sa naissance, ses géniteurs ont été victimes du démon qui se baladait au gré des songes. Elle se souvient des crises qui s'emparaient de sa génitrice, l'obligeant à ingurgiter des somnifères pour retrouver Morphée paisiblement. À l’annonce de ce nouveau décès qui a su faire frémir le commun des mortels, Lilie reste sceptique. Malgré le tumulte qui sévissait à Springwood High School — entre racontars et murmures horrifiés ; elle n’arrive pas à comprendre l'atrocité de ce décès aux effluves de fantôme du passé ...
LONG WAY DOWN

PRISE
Lilie est semblable au soleil — astre divin. D’aussi loin qu’elle s’en souvienne, tout avait toujours tourné autour d’elle. Elle était une pierre précieuse, scintillante. Fille unique, elle se révèle être une perle aux mirettes de ses géniteurs. Séraphine en tout point, la Spellman est née avec une cuillère en or dans la bouche. Tout ce qu’elle désire, elle l’obtient. Tout ce qu’elle veut, elle l’orchestre. Infante aux boucles dorées, l’argent coulait à flot dans sa lignée. Ses vacances, elle les passait aux Hamptons. À siroter des cocktails, à bronzer le long de la piscine. Lorsqu’elle rentrait, elle retournait auprès de ses vrais amis : Elsie, Xander, Deandre, Maureen & Myers. Parce que malgré cette odyssée idyllique qu’était son existence, elle n’oubliait guère ses racines. Ils étaient liés comme les doigts de la main et jamais elle n’aurait vécu sans eux. Les années s’écoulaient, dégradant leur lien. Au déménagement de Maureen, Lilie avait eu le cœur brisé. Parce qu’elle la considérait comme sa meilleure amie, unique personne au monde à qui elle se confiait. Alors, lorsqu’elle n’écrivait pas dans son journal intime, elle écrivait des lettres à Maureen. Imaginez le goût amer qui s’était glissé dans sa gorge lorsqu’elle comprît que Maureen s’était aventurée dans les limbes charnels. Elle, sa meilleure amie. Avec Myers ; son amour de toujours. Même si les années les avaient séparé — appartenant chacun à un groupe social ; Lilie n’avait rien oublié de ces fous rires dans les hautes herbes, de ces cabanes construites dans les arbres. De ses pique-niques nocturnes, de ces baignades interdites. Malgré sa renommée impeccable, Lilie les gardait en son cœur. Elle était l'impératrice du lycée, celle que tout le monde voulait voir être élue reine du bal de promo. Elle était divine, magnifique. Ô combien délicieuse. Tout le monde voulait être ami avec elle, et les garçons ne songeaient qu’à elle. À sa plastique envoûtante. Parce qu’elle était la perfection incarnée ; d’une providence inégalée. Cliché de la populaire, Lilie ne pouvait s'empêcher d’afficher un faciès digne d’un resting bitch face. Garce à ses heures perdues, la Spellman était autant détestée qu’elle était adulée — mais son règne était incontesté. Elle était la reine de Springwood High School. Ô douce Lilie, reine bien-aimée. Cependant, son courroux fût des plus ardus. Lorsqu’elle fût mise au courant pour Myers et Maureen — bien qu’elle avait compris que ce n'était que charnel ; elle avait eu le cœur brisé. Brisée par l’amour qu’elle portait à Myers, les perches qu’elle lui avait tendu. Brisée par l'amitié qu’elle portait à Maureen, les secrets qu’elles échangeaient. Cette trahison ne pouvait qu’être vengée avec cruauté. Ainsi, elle mît le grappin sur Deandre. Ô essence dépressive. Parce qu’elle le savait, elle savait l’amour que lui portait Maureen — sans savoir que c'était réciproque. Il était populaire, beau — et il embrassait divinement bien. Il lui servait de couverture, lui permettant de sauver le apparences en s’affichant aux bras de cet adonis à la beauté diaphane ; renversante. Seulement, leur relation était aussi superficielle que l’apparence de la Spellman aux griffes manucurées ; et tout ce tumulte n'était qu’une illusion pour cacher ce trou béant qui s'était creusé dans sa poitrine suite au rapprochement de ses amis — dont l’alcool envahissait les veines et artères.
LILIE SPELLMAN — prise

DO YOU FEEL LIKE A YOUNG GOD ?
nom complet : lilie spellman. surnom(s) : au choix. date de naissance : au choix. lieu de naissance : springwood, ohio. nationalité et origines : au choix. situation civile : au choix. orientation sexuelle : au choix. études : high school sweetheart. situation financière : au choix. particularités : au choix. groupe : better lock your door. célébrité choisie : kathryn newton (négociable).

THE DEADFAST CLUB

WHEN YOU GROW UP,
YOU HEART DIES

Haut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide.





Dernière édition par Maureen Prescott le Dim 19 Avr - 19:39, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyDim 22 Mar - 20:03

description du caractère : au choix.

où est-ce que votre scénario se situe au sein du contexte du forum ?
Avant sa naissance, ses géniteurs ont été victimes du démon qui se baladait au gré des songes. Mortellement. Le môme se souvient de cette période de deuil, sa lignée ayant perdu une âme sous les griffes de ce monstre — son regretter oncle Artus. À l’annonce de ce nouveau décès qui a su faire frémir le commun des mortels, Myers ne sait quoi penser. Malgré le tumulte qui sévissait à Springwood High School — entre racontars et murmures horrifiés ; il pensait à une hâblerie de mauvais goût. Jusqu'à cette fameuse nuit, où il s'incrusta dans ses songes nocturnes ...
LONG WAY DOWN

Une caravane ; un lieu de vie peu banal. Le môme qu’on pointe du doigt, dont on se moque. Le môme aux iris noirâtres, jetant des lorgnades emplies de haine. Celui aux jeans troués, celui à la veste en cuir. Celui dont les tiges osseuses caressent les cylindres de nicotine, celui dont les chairs s’extasient au gré des breuvages alcoolisés. Myers — le môme dont la mère s’est barrée avec un autre. Harvey, Myers. Môme dont le paternel est parti acheter un paquet de cigarettes, et qui n’est jamais rentré. Depuis, il crèche chez son oncle. Un dealer, bagarreur. Parfois vagabond, parfois mendiant. Une caravane, une espèce de cabane au fond de la forêt. Il demeurait en ces lieux ; loin du regard des autres. Se faire juger, il était habitué. Parce qu’il est le paria de Springwood High School ; le bad boy à la bouille d’ange. Un Cry-Baby des temps modernes, un Johnny Depp à la peau ambrée. Ses lèvres emprisonnaient son éternelle cigarette, ses cheveux incessamment tirés en arrière. Débraillé, asocial. Libre. Il était en dehors des sentiers battus. Il vivait comme il l'entendait, comme il le voulait. Aux antipodes de la normalité, la seule chose qui paraissait ordinaire était les relations qu’il entretenait. Xander, Elsie, Deandre, Maureen ainsi que Lilie. Ils étaient ses ports d’attache, ses phares dans le brouillard. Malgré leurs différences sociales, leur amitié était pure. Réelle, innocente. Au déménagement de Maureen, il n’attendait qu’une chose : le retour de l’été. Leurs baignades, leurs entretenus — leur candeur qui s’élevait dans le mistral estival. Si les années qu'il passa au collège furent désastreuses, ce fût à cet instant que tout se brisa en milles morceaux. Parce qu’il était trop différent, parce qu’il avait un style de vie étrange. Parce qu’il était Myers. Ses repas étaient constitués de hamburgers, pizzas et d'autres sandwichs — du soda s'écoulant dans son gosier. Ses devoirs, il ne les faisait pas. Il préférait regarder la télévision, lire des bandes-dessinées. Bricoler sur sa moto ; son seul et unique amour. Ses iris d’outremer lui donnait un air désintéressé, je-m'en-foutisme — foutu charisme. C’était peut-être cela qui avait fait flancher Lillie, elle, la princesse aux milles et un trésors. Myers savait pour le béguin qu’elle destinait à son égard. Mais, qu'avait-ils à partager ? La Belle et la Bête ; un foutu remake à l'eau de rose. Elle était la représentation même de l'Amérique, divine en tout point, pleine aux as, d’une suprématie incroyable — ô america's sweatheart. L’ange, et le démon. Leur union ne serait guère vue d'un bon oeil, et Myers n’avait guère besoin d’un nouveau drame dans son existence. Ce qu’il voulait, c’était errer sur les quais. Rouler des heures sur sa moto, fumer et boire à outrance — caresser la chair des demoiselles aux mœurs légères. Être libre, sans attaches. Il ne voulait rendre des comptes à personne. Alors, lorsque cette bavure entre Maureen et lui éclata, il fût pris d’une colère noire. Parce qu’il devait se justifier : pourquoi il avait fait cela, quelle idée lui était passée par la tête. Lui, il profitait de l'instant présent — un tantinet épicurien. Ils avaient bu, fumé — et leurs chairs s'étaient liées. Ils n’étaient que deux essences à fleur de peau. Vulnérables, frémissants. Attirés l’un vers l’autre ; l’espace d’une percée nocturne. Les esprits embrumés s’étaient éveillés avec des regrets ; et le groupe s’était séparé. Solitaire, l’existence d’ermite n’avait guère d'impact sur Myers. Après tout, leurs retrouvailles durant leur première année au lycée grâce à Maureen n'avait pas duré. Leurs différences sociales n’avaient rien apporté de bénéfique, ils n’étaient plus liés par les mêmes convictions — ô amitié évanouie. Désormais seul à arpenter les routes goudronnées, Myers n’a besoin de personne sur sa Harley Davidson. Alcools, nicotine — et sainte débauche ; tel était son quotidien. Un quotidien qui lui, ne le jugeait pas.
MYERS HARVEY — libre

JUST WANNA BE BRAINDEAD
nom complet : myers harvey. surnom(s) : au choix. date de naissance : au choix. lieu de naissance : springwood, ohio. nationalité et origines : au choix. situation civile : au choix. orientation sexuelle : au choix. études : high school sweetheart. situation financière : au choix. particularités : au choix. groupe : freddy's coming for you. célébrité choisie : cole sprouse (négociable).

THE DEADFAST CLUB

WHEN YOU GROW UP,
YOU HEART DIES

Haut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide.





Dernière édition par Maureen Prescott le Dim 19 Avr - 19:42, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyDim 22 Mar - 20:18

description du caractère : au choix.

où est-ce que votre scénario se situe au sein du contexte du forum ?
D'origine chinoise, elle a été adoptée à l'âge de cinq ans. Elsie n'a jamais entendu parler de ce démon hantait les nuits des âmes anthropiques. Bien que la légende urbaine résidait, ses géniteurs adoptifs lui interdirent de prononcer le nom de cette chose lorsqu'elle avait posé la question. À l’annonce de ce nouveau décès qui a su faire frémir le commun des mortels, Elsie fût prise d'une angoissante inquiétude. Le tumulte qui sévissait à Springwood High School — entre racontars et murmures horrifiés ; n'arrangea en rien ses craintes. Chaque percée nocturne, elle retrouvait ses draps : la boule au ventre. Jusqu'à cette nuitée, qui marqua le début de la fin. Il était là, tapie dans l'ombre. Il l'attendait, chaque nuit. Il désire s'emparer d'elle, de son âme ... de la vider de son hémoglobine.
LONG WAY DOWN

Invisible — tel était le terme qui s’attachait à Elsie. Son existence, en réalité, n’avait rien d’extraordinaire. Ses cinq premières années se révèlent assez floues. Née en Chine, elle a été ballottée de famille en famille. Ô combien introvertie, nul géniteur ne daignait la garder. Elle était peu bavarde, timide. Asiatique. Malgré une bouille angélique aux ponettes attendrissantes, la timidité maladive de l’infante ne lui permettait pas de s’ouvrir au monde ; et toute essence anthropique ne pouvait l’accepter. Certains prenaient cela pour du non-respect, d’autres pour une maladie incurable. Ainsi, ils se tournaient vers des mômes plus joviaux ; dont les éclats de rire résonnaient. Lorsqu’elle fût adoptée par les Larson, ce fût le premier anniversaire qu’elle fêta avec une vraie famille. Cinq années — à être coincée dans le système d’adoption. Les orphelinats, les famille d’accueil. La douleur, les pleurs — la solitude. La détresse. Si les époux Larson avaient su déceler chez la fillette une fragilité, ils avaient aussi su déceler son véritable potentiel. Elle était une surdouée. Tout ce qu’elle entreprenait, elle le réussissait avec brio. Elle était ô combien intelligente, talentueuse dans toutes les matières. As de la musique, ses phalanges glissaient sur les blanches et les noires au gré des mélodies ; délicat génie. Protégée des professeurs, les moqueries s’installèrent dans son quotidien. Jusqu’à l’arrivée de Maureen ; avant qu’elle ne déménage. Elle s’était battue pour elle. Quelques garnements ne cessaient de la bousculer, et la Prescott était intervenue. Parce qu’elle ne supportait pas l’injustice, parce qu’elle ne supportait pas qu’on s’en prenne aux plus faibles. Dès lors, elles étaient devenues amies. Ainsi avait-elle rencontré le reste de la bande : Xander, Lilie, Myers et Deandre. Mômes de différents bords, ils étaient pourtant liés à jamais. Les étés s’écoulèrent suite au déménagement de Maureen, et nul n’osa lui faire à nouveau la misère. Chacun avait l’ombre de sa protectrice en tête, et réveiller le dragon qui s’était endormi n’était pas une bonne idée. À nouveau, Elsie était redevenue invisible. Elle faisait ce qu’elle avait à faire, quand elle devait le faire. Studieuse, elle était un réel atout pour les établissements dans lesquels elle perdurait. Chaque personne qui croisait Elsie savait qu’elle ferait de grandes choses — qu’elle serait une grande dame. Lorsque sa nuée bien-aimée se brisa, Elsie ne daigna choisir de camp. Elle n’était guère du côté de Lilie et Deandre, ni même du côté de Maureen et Myers. Tout ce qu’elle savait, c’était qu’elle était peinée. Elle avait été tellement heureuse du retour de Maureen, malgré leurs différences affolantes. Quelque part, leur troupe était à nouveau reformée à Springwood. Cette déchirure, Elsie l’avait mal vécu. Elle ne dormait plus la nuit, elle en faisait des cauchemars. Elle ruinait sa santé, ô combien attristée. Ainsi interprétait-elle ses songes malsains, destructeurs qui hantaient depuis quelques temps ses percées nocturnes … à tort. Car la douce ne savait guère ce qui rodait dans les eaux troubles, ô monstre aux griffes acérées. Prêt à la dévorer ; ayant fait d'Elsie la brebis égarée.
ELSIE LARSON

AT LEAST I LOOK COOL
nom complet : elsie larson. surnom(s) : au choix. date de naissance : au choix. lieu de naissance : springwood, ohio. nationalité et origines : américaine d'origine chinoise. situation civile : au choix. orientation sexuelle : au choix. études : high school sweetheart. situation financière : au choix. particularités : au choix. groupe : never sleep again. célébrité choisie : lana condor (négociable).

THE DEADFAST CLUB

WHEN YOU GROW UP,
YOU HEART DIES

Haut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide.





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Anonymous
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MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyDim 22 Mar - 20:41

HELLO LES PETITS POTES THE DEADFAST CLUB • 1/4 2222957979.

Tout d'abord, un grand merci pour t'intéresser à cette petite troupe ! Tu l'auras remarqué, dans la liste de personnages proposés, ne se trouve pas @xander wesley fowler — c'est parce qu'il est déjà joué.

Nous sommes donc deux à vous attendre avec tout notre amour THE DEADFAST CLUB • 1/4 2062582160.

Concernant les avatars, ils sont tous négociables tant que vous restez dans l'esprit des premiers faceclaims proposés : nous ne sommes pas compliquées !

D'ailleurs, si vous prenez Deandre, sachez que je vous offre mon âme THE DEADFAST CLUB • 1/4 3663665315.

Comme vous l'avez compris, on vous promet du drama et de la fight ; entre ces histoires de cœur et la position délicate de Elsie dont la vie ne tient qu'un fil ! Avec ce groupe, nous avons voulu récréer les groupes d'amis clichés que l'on retrouve dans les slashers et nous avons hâte que ces bouilles soient jouées THE DEADFAST CLUB • 1/4 1619459661.

Des esquisses de biographies ont été écrites, mais elles sont modifiables tant que les grandes lignes sont gardées avec minutie ; et n'hésitez pas pour les questions si besoin ! THE DEADFAST CLUB • 1/4 2477033423

ON EST EXCITÉES COMME DES PUTES (OOPS, DES PUCES) THE DEADFAST CLUB • 1/4 860974516 !
ON VOUS ATTEND !!!!!! THE DEADFAST CLUB • 1/4 3606145921.





Dernière édition par Maureen Prescott le Dim 19 Avr - 22:45, édité 3 fois
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Nora Bowen
Nora Bowen
☾☾ will in your eyes, fire in your soul.
toi + moi : jolie beth. un blabla ou deux : bold. je t'aime, un peu, bcp : busy for now, later maybe. ton p'tit nom : written in the stars (séléné). remerciements : @hoodwink (avatar) @tumblr (gifs) @thinkky (icons) @séléné (signa). effigie : mara lafontan. ♡ rêves accumulés : 567 chances de survie : 3969 à springwood depuis : 22/12/2019
jukebox : 16 psyche, chelsea wolfe. - walk the rain, sneaker pimps. - nurse's office, melanie martinez. - until before after, in the nursery. mortellement vôtre : so young, so pretty. si loin et si proche de ses années adolescentes. occupation : seringues et compresses. l'odeur nauséabonde d'un hôpital mal nettoyé. singularités : (( paranoïa )) elle ne sait plus où donner de la tête. ça tourne. tout s'entremêle et se perd au fin fond d'une folie contrôlée à l'aide de substances quotidiennes. (( déficit de l'attention )) confuse et perdue dans un monde bien propre à elle.
statistiques : dextérité - 4/5 ⋆ discrétion - 2/5 ⋆ intelligence - 3/5 ⋆ rapidité - 1/5 ⋆ survie - 4/5

https://meandthedevil.forumactif.com/t17-soap-and-skin https://meandthedevil.forumactif.com/t45-femme-fierce
MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 EmptyJeu 2 Avr - 15:56

scénario lilie spellman pris.
scénario elsie larson réservé.



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MessageSujet: Re: THE DEADFAST CLUB • 1/4   THE DEADFAST CLUB • 1/4 Empty




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