Who will save you ?

nom complet : Ellis (non, ce n'est pas inspiré de Grey's Anatomy, je n'aurais pas plus de quinze ans, dans le cas contraire) Montgomery. surnom(s) : Aucun surnom, pourtant j'adore cela... J'imagine que mon prénom est à leur goût à tous et que personne ne ressent le besoin de me faire sentir spécial. Je le mérite pourtant. date de naissance : Dix-sept avril (1994). lieu de naissance : Quartier français (Nouvelle Orléans) nationalité et origines : Américain, même rengaine pour mes origines, les racines espagnoles en plus. Ma grand-mère maternelle réside toujours là-bas, d'ailleurs. Vous devriez nous voir, elle et moi, lorsqu'on se dispute tous les deux pour convaincre l'autre de venir pour les vacances. Mi abuela siempre gana. situation civile : Célibataire, en manque d'affection. orientation sexuelle : Ouvertement bisexuel, au plus grand dam de ce père qui a toujours utilisé cette excuse (parmi tant d'autres) pour se défouler sur moi. études/situation professionnelle : Coach sportif, vous devriez voir les vieilles dames saliver pendant mes cours de step, dommage que je préfère favoriser la fraicheur à l'expérience, je suis persuadé qu'elles auraient des choses à m'apprendre au lit. situation financière : Stable sans rouler sur l'or. particularités : ◐ De vieilles cicatrices (brûlures) un peu partout sur le corps. Un souvenir laissé par mon père, des cigarettes qu'il avait pour l'habitude de m'écraser sur la peau lorsqu'il était ivre et que j'osais m'immiscer entre ma mère et lui.
◐ Légitime défense, je ne suis pas passé loin de la prison. J'imagine que les médecins ont témoigné en ma faveur, eux qui étaient habitués à me voir aller et venir à l'hôpital au gré des blessures infligées par mon père. Dans tous les cas, je lui ai ôté la vie, à mon père... Tout cela pour protéger ma petite sœur. L'enfoiré le méritait. description du caractère : Accessible, il est difficile de l’être plus que moi. Le contraire me compliquerait énormément la tâche lorsque j’entre à la salle de sport. Quel que soit le public présent, tu dois instantanément parvenir à capter leur attention, à leur inspirer confiance. J’opte pour une bonne dose d’humour et de second degré. qui fonctionne à chaque fois. Maladroit, j’ai conscience de l’être parfois. La faute à un côté brut de décoffrage que j’ai parfois du mal à contenir.  J’ignore s’il s’agit d’une qualité ou d’un défaut, toujours est-il qu’on me décrit très régulièrement comme  charmeur. Ils n’ont pas tort, je le suis. J’ai un rapport à la séduction qui peut parfois être très paradoxal. Curieux, je n’oserais pas l’être si je n’étais pas libéré moi-même. J’ai un mal fou à comprendre ces personnes qui fouinent pour obtenir des informations sur un autre individu et qui s’offusquent à la moindre question personnelle. Je n’ai aucun problème à parler de mon passé, de mes failles, de mes erreurs même si j’ai connu de bien meilleurs sujets de conversation pour un premier date que de parler d’un meurtre commis par légitime défense à l’adolescence. Libéré, je le suis aussi de ce corps dont je n’ai pas le moins du monde honte. Les cicatrices ne disparaitront jamais totalement, ces boursoufflures symboles des brûlures sont un rappel constant. La petite voix qui me ramène à ce que je ne veux surtout pas devenir. Je ne suis pas spécialement pudique non plus, au contraire, je suis très à l’aise et conscient que la nature a été plus que généreuse avec moi. Une compensation pour l’enfer qu’il a fallu traverser, dirons-nous. Tactile, j’ignore pourquoi je le suis autant. J’ai parfois du mal à parler, à trouver les mots qui font plaisir. Lorsque je suis heureux, ce sont mes gestes qui l’illustrent, des accolades, des petits coups sur l’épaule… Lorsque la peine me retourne l’estomac, ce sont à nouveau mes gestes qui trahissent mes émotions. Je ne sais pas m’exprimer, mais quelqu’un de suffisamment observateur sera toujours à même de lire en moi comme dans un livre ouvert. La luminosité évidente laisse parfois place aux incertitudes. Lorsque je me sens blessé, en danger, je n’ai aucun contrôle sur ce mécanisme de défense qui s’active et me rend distant. La froideur reprend le dessus, comme lorsqu’il abattait ses poings sur moi et qu’il me fallait encaisser pour m’assurer qu’il s’arrête sur ma carcasse, et pas sur celle de ma mère, ou pire… De ma petite sœur. Peu sûr de soi, j’ai conscience de l’être dès lors qu’il est question de sentiments. J’ai repoussé tout le monde par peur d’être trahi à l’époque, et puis leur regard a changé. Ils m’ont tous tellement jugé, certains avaient peur, d’autres étaient dégoûtés, certains semblaient me considérer comme une chose étrange à étudier… J’ai gardé des séquelles profondément ancrées en moi. Peut-être la véritable raison derrière mon incapacité à laisser une relation sérieuse s’installer… Une peur viscérale de me tromper, d’aimer à en crever, à tort et de n’obtenir que de la peine en retour. L’amour, je le perçois comme quelque chose de destructeur, de terriblement stupide. Comment peut-on tolérer l’intolérable au nom de l’amour ? groupe : Freddy's coming for you. célébrité choisie : Brandon Good.