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| | TERRIFIED | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: TERRIFIED Jeu 2 Avr - 13:05 | |
| un bout de ma vie the dream didn't fade as dreams usually do upon waking -ㅤㅤㅤㅤ il n'aimait pas l'école. c'était trop bruyant, c'était trop agaçant. il rêvait, tous les jours, d'attraper la variole. denis qui ne s'exprime pas. qui parle des mains. qui se replie au premier brouhaha. ouais, non, denis n'était pas commun. ça l'a suivit pendant longtemps -trop longtemps pour ses épaules larmoyant. de sa légère dyslexie, il écrivait ses récits, sur des papiers maudits. et il détestait, il détestait putain, il haïssait l'école, parce que c'était le seul, à jamais lever la main. quand il commença à reprendre goût à l'enseignement croquant, il tomba sur ce doux volcan. elle était belle, elle était douce, elle était grande, elle était mince, elle était jeune, elle était jolie et- et- et- et elle en avait rien à foutre de ses silences cosmiques muse, mila, muse. douce nymphéa qui le rendait béat. les mots se coinçaient au fond de sa gorge, le ridicule pendait au-dessus de saint georges. c'était le feu dansant au dessus du lac, il se rappelle du jour où son cœur a fait clac. faut pas croire que denis n'avait jamais épousé les formes d'une femme avant, mais cette muse, avec elle, c'était bonnement différent. le besoin d'être rassurant, touchant, délicat et indélicat. de sourire toujours plus, de parler toujours plus. se noyer au fond de ses yeux, la regarder en remerciant ses aïeux. ce fut la seule femme, à qui, denis éprouvait le besoin de lui dire je t'aime, de sa propre voix.- ils planaient sur le paradis - y a cet après-midi, lorsqu'elle est venue avec ses mots et son grand sourire. c'était des rêves qui ce glissaient sur leur lèvres. les plus belles années de sa vie, l'euphorie qui grandissait lorsqu'ils ne savaient plus où aller. mais ce jour, à l'aube d'une nouvelle année, elle tomba enceinte. ils ont construit un chez-sois à partir de rien, pas même quelques acariens. le retour du travail ingrat, des horaires de paria, sauf qu'il fallait payer le chauffage, l’électricité, la bouffe, tout ça leur coutait un bras. voir deux. voir trente. se tuer à la tâche pour donner un semblant de paix au nouveau-né. darwin. le doux son, que d'entendre les cris de son gosse à la naissance. son fils. l'amour de ses prunelles. une nouvelle vie. un nouveau secret. si beau, si doux, si fragile, si délicat. l'euphorie semblait atteindre l'apogée des deux amants et sans crier garde, toute forme d'amour épousa violemment le siège d'un prénommé satan. jour hasard ou le travail le tua, en poussant la porte à contre cœur de cette maison moteur, il pouvait sentir d'ici sa muse et sa rancœur - celle d'aimer un silencieux menteur. pourtant, la maison se réjouissait d'un calme serein, elle avait du réussir à endormir darwin et devait dormir enroulé dans ses sanglots. chaque pas devant l'autre sonnait sur le rythme d'une marche funèbre et le temps s’éclipsa, le temps d'ouvrir la porte des ténèbres. elle dormait dans la baignoire, à poings fermés. il dormait darwin sous l'eau, pour ne plus jamais se réveiller. elle l'avait tué, de sa fatigue nausée. elle l'avait tué, par toute cette rancœur gênée. elle l'avait tué, son propre fils. dans un écho de poumon, il avait crié à en perdre haleine. des vagues d'affliction et d'amertume, s'apostrophaient sur ses lèvres vilaines. pour la première fois, denis avait parlé. pour la dernière fois, ses lèvres s'échauffaient sur un rythme effréné de mots silencieux qui ne sortirait plus jamais. premier et dernier litige à vive voix, celle où denis avait laissé entrevoir, sur la plissure de ses lèvres " je ne sais pas si j'arriverai à t'aimer à nouveau". ses yeux s'étaient promis de ne plus pleurer, ou d'abandonner l'espoir de lui pardonner. mais quand son visage abîmé, continuait à s'afficher devant son corps foutu, sa muse l'avait abattu. il se retrouva perdu. seul et rendu, à un destin qui ne lui appartenait plus. il ne pouvait la quitter, enchaîné à l'idée de se rattacher à cet espoir d'amour habité. (( il se forçait à l'aimer. elle et ses traits damnés. il n'arrivait à trouver le sommeil, hanté par des pleurs merveilles.))
il s'enivre dans des sommeils casseurs, entendant son cœur envahisseur. il voudrait bien parler, juste pour dire à quel point le monde l'a fracturé de maux impérissables. | denis ellis
la mort aux dents d'argent|| aux maux dangereux nom complet : le sourire éphémère qui dure éternité, peut-être pas sur ses lèvres, mais coincé entre son cœur et ses poumons. denis aux couleurs du ciel, la gentillesse en forme de miel. oiseau interprète d'une vie mal agencée, incapable par toute manière qu'il soit, de cet être l'offenser. à souffler sur les ponts, les ports, dans les bars ou sur le perron, ellis se faisait rare à crier. on laissait échapper un havre de paix sur cette peau blasphème d'amour délicat. surnom(s) : autrefois choyé d'un surnom tendresse qui étais mon amour, dorénavant oublié dans un de ces cartons pandore; on ne déforme son prénom en un den seulement sous son regard approbateur. date de naissance : produit que les jeunes décriront comme ancien, plein hiver d' 1988 qu'un gamin sans voix posa son premier regard sur un monde aux secrets endormis. lieu de naissance : visage que l'on a déjà oublié, bébé silencieux né à springwood c'est étonnant, on fronce les sourcils tandis que la mémoire ronronne. on recherche, on souffle, on souffre à tenter de se souvenir des ellis. tentative sempiternellement lâchée au vu d'aucun souvenir flottant de cette famille étrange. nationalité et origines : arnaqueur d'aigles royaux. ses papiers sont gribouillés d'un drapeau aux étoiles blanches. américain de nationalité bien qu'aux origines hispaniques du côté maternelle. une origine qui fait remonter des accents limites et des clichés torrides quant au soleil flamboyant. espagnol par couleur de cœur, grâce à cette terre d'origine dont il ne garde que des souvenirs fragiles. situation civile : le bouquet de fleurs commence à perdre de ses couleurs, les sourires s'éteignent contre des silences pesants et elle est là. les bras ballants à attendre un reproche, à attendre une vague, à attendre le temps qui passe. marié à un fantôme depuis plus de dix ans qui laisse étendre ses ombres contre des murs fragiles. denis il sent, il sait, qu'il suffit d'une main pour faire noyer cette barque fragilisée. orientation sexuelle : ça n'a toujours été que les femmes, elles, elle mais surtout elle. pourtant c'est un cœur en miettes, plié dans du soie blanc /tâchée de rouge dorénavant/, qu'il se trimballe dans la poche avant. situation professionnelle : à défaut de faire de ses jours un amas de poésie parlé, les livres s'épuisent en silence sous ses doigts fragiles. apprendre la littérature à des jeunes cœurs en souffrances ou les écouter vider l'âme en peine entre salinger et huxley, bibliothécaire qui sait garder un secret. il vient choper ce poste depuis que l'ancienne bibliothécaire reste introuvable- son corps et son âme, perdu peut-être dans les tréfonds d'un caniveau. situation financière : ni plus ni moins. haussement d'épaules. il ne sait comment il finit ses fins de mois, laissant la maîtresse de maison gérer les comptes communs. comment fera-t-il quand elle ne sera plus là? particularités : les dieux façonnant l'être futur des ellis, se perdant dans la liste des compliments, en oublia un élément. le matin de sa naissance, on s'inquiéta de sa croissance. il semblait crier le nouveau-né, il semblait vouloir parler l'ange déchu : mais aucun son ne sortait malgré sa ferveur arrachée ( muet qu'on soufflait aux oreilles des sages femmes). denis, pauvre denis, l'un des dieux oublia de cocher la voix du paradis. à jouer avec le feu: se brûler les rétines - sous les rayons de lune et d'étoiles - sur des mots latins qu'il traduit avec envie et maladresse. ces livres occultes qu'il trimballe d'endroits à endroit, se mélangeant entre les oeuvres de stephen king (livres déchirés et abîmés à force d'être lu, relu et encore jusqu'à connaître chaque mot jusqu'au dernier) sont des êtres chers accrochés à sa chair. croire aux fantômes et à l'au-delà, pourtant une peur minime l'abrite : la peur de ne savoir que faire, face à une entité pareille. description du caractère : un goût d'anis sur le bord de ses lèvres et le col de sa chemise. douceur de velours, sourire de troubadour. main dansante, sourire charmant. les fantômes qui s'évadent sur sa peau livide. comme l'amant de l'amabilité et l'époux de la modestie. des yeux qui reflètent un vide béant. grand cœur malade de jalousie. un bras sur le rebord du balcon, à siroter une menthe à l'eau. introverti, tant pis, odieux (aux dieux) [oh dieux!]. bulle écarlate. l'art d'imaginer le pire et le gore en toute situation. main lourdeur de gentillesse, l'plomb dans la sincérité. la tête couchée sur l'oreiller, yeux fermés dans les bras de morphée, rêves interdits dans les bras d'une autre femme. une plume volage au silence indomptable et aux yeux cassés par un mal-être impérissable. groupe : gonna stay up late célébrité choisie : louis garrel | | liens recherchés ( m/f ) : titre du lien uc. | roz soto
amour infidèleLorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. | |
| aimee rhodes
douceur enfantineLorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. Duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. Excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. | |
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Dernière édition par Denis Ellis le Lun 13 Avr - 16:32, édité 1 fois |
| | | ☾☾ will in your eyes, fire in your soul. toi + moi : jolie beth. un blabla ou deux : bold. je t'aime, un peu, bcp : busy for now, later maybe. ton p'tit nom : written in the stars (séléné). remerciements : @hoodwink (avatar) @tumblr (gifs) @thinkky (icons) @séléné (signa). effigie : mara lafontan. ♡ rêves accumulés : 567 chances de survie : 3865 à springwood depuis : 22/12/2019 jukebox : 16 psyche, chelsea wolfe. - walk the rain, sneaker pimps. - nurse's office, melanie martinez. - until before after, in the nursery. mortellement vôtre : so young, so pretty. si loin et si proche de ses années adolescentes. occupation : seringues et compresses. l'odeur nauséabonde d'un hôpital mal nettoyé. singularités : (( paranoïa )) elle ne sait plus où donner de la tête. ça tourne. tout s'entremêle et se perd au fin fond d'une folie contrôlée à l'aide de substances quotidiennes. (( déficit de l'attention )) confuse et perdue dans un monde bien propre à elle. statistiques : dextérité - 4/5 ⋆ discrétion - 2/5 ⋆ intelligence - 3/5 ⋆ rapidité - 1/5 ⋆ survie - 4/5 | Sujet: Re: TERRIFIED Jeu 2 Avr - 15:52 | |
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| | | un blabla ou deux : #ff33cc je t'aime, un peu, bcp : tous les jours, for now. ton p'tit nom : pauline. remerciements : killing boys effigie : kristine froseth. rêves accumulés : 89 chances de survie : 3075 à springwood depuis : 19/03/2020 jukebox : mahler, adagietto, symphonie 5 mortellement vôtre : dix-huit ans, petit coeur trop jeune pour battre aussi fort. occupation : last high school year, last chance to be prom queen. singularités : petite dernière de la famille bien rangée dans sa maison pavillonnaire. subit la croyance générale, n'a que le Seigneur vers qui se tourner, mais lui, il ne sauve pas des mauvais rêves. on la dit un peu dérangée. le regard trop noir pour ce visage angélique. statistiques : dextérité - 3/5 ⋆ discrétion - 5/5 ⋆ intelligence - 4/5 ⋆ rapidité - 2/5 ⋆ survie - 2/5 | Sujet: Re: TERRIFIED Jeu 2 Avr - 19:02 | |
| je viens à la charge à mon tour, je ne peux pas résister désolée pour l'instant, pas d'idée très claire dans ma tête, que des brouillons flous. peut-être que tu es à la recherche de liens particuliers ? à bientôt edit: quand même pas mal de pistes, la soeur d'aimee est elle aussi muette. elle adore la littérature aussi. à l'inverse, elle se tourne pas vers les livres occultes mais bel et bien vers sa bible. je pense qu'on peut jouer assez pernicieusement avec cette barrière du sacré, des sciences occultes, du religieux. enfin à voir, mais ça peut être intéressant à creuser, non..?
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| | | | | | | ☾☾ will in your eyes, fire in your soul. toi + moi : jolie beth. un blabla ou deux : bold. je t'aime, un peu, bcp : busy for now, later maybe. ton p'tit nom : written in the stars (séléné). remerciements : @hoodwink (avatar) @tumblr (gifs) @thinkky (icons) @séléné (signa). effigie : mara lafontan. ♡ rêves accumulés : 567 chances de survie : 3865 à springwood depuis : 22/12/2019 jukebox : 16 psyche, chelsea wolfe. - walk the rain, sneaker pimps. - nurse's office, melanie martinez. - until before after, in the nursery. mortellement vôtre : so young, so pretty. si loin et si proche de ses années adolescentes. occupation : seringues et compresses. l'odeur nauséabonde d'un hôpital mal nettoyé. singularités : (( paranoïa )) elle ne sait plus où donner de la tête. ça tourne. tout s'entremêle et se perd au fin fond d'une folie contrôlée à l'aide de substances quotidiennes. (( déficit de l'attention )) confuse et perdue dans un monde bien propre à elle. statistiques : dextérité - 4/5 ⋆ discrétion - 2/5 ⋆ intelligence - 3/5 ⋆ rapidité - 1/5 ⋆ survie - 4/5 | Sujet: Re: TERRIFIED Lun 1 Juin - 16:30 | |
| du coup ? je suis paumée, jsplus si on en avait parlé beauté
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| | | | Sujet: Re: TERRIFIED | |
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| | | | TERRIFIED | |
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