| Sujet: beautiful face, tortured soul ; Mer 18 Mar - 22:07 | |
| MAD FAT DIARYMOTHER’S DAUGHTER — môme de l’incommensurable Sidney Prescott, nulle essence anthropique ne peut s’empêcher de la comparer à sa génitrice. Figure mythique, cette survivante de la tuerie de Woodsboro se révèle désormais être une écrivaine à succès. S’étant malencontreusement amourachée d’un certain Jacob Davis, cette relation toxique se solda en divorce — malgré l’existence de Maureen. Autrefois nommée Maureen Davis, l’infante se décida à reprendre le patronyme de sa procréatrice suite à leur séparation ; par pure fierté. GLORY & GORE — 2011, l’affaire Jill Roberts. La môme était âgée d’une huitaine d’années lorsque sa matriarche s'envola pour sa ville natale. Son éditrice orchestra une rencontre afin qu’elle puisse signer son nouvel opus à Woodsboro — théâtre de maintes atrocités. Désastreusement, un nouveau tueur masqué réapparût : Ghostface. Quel ne fût pas l’étonnement de Sidney lorsqu’elle découvrit sa nièce, Jill Roberts, sous le masque. Assoiffée de célébrité, l'adolescente voulait devenir la survivante d’un massacre ; ce qui ferait d’elle la coqueluche des journaux. Malgré un plan ô combien élaboré, la trahison se solda sur les actes de Sidney qui tua cette psychopathe avide de notoriété d’une balle. DRAWN TO THE BLOOD — le décès de Jill / môme dérangée / marqua l’infante. Ô combien proche sa cousine, ce fût un réel déchirement d’apprendre qu’elle était morte. Particulièrement lorsqu’elle fût mise au courant qu’elle avait été abattue par sa génitrice ; légitime défense puisque cette dernière voulait l’anéantir : Jill voulant devenir la nouvelle Sidney. Sombrant dans une dépression abyssale, Maureen fût davantage touchée qu’elle n’aurait voulu. À l’aube de cette découverte, Sidney délaissa sa progéniture à une psychologue. Démunie, l’experte tenta de canaliser les crisses d’angoisse de Maureen — rejetonne qui développa dès lors une claustrophobie ainsi qu'une achluphobie. L'obscurité, les espaces clos — une hantise qui lui créait des terreurs nocturnes. Avec les années, Maureen développa une obsession des plus étranges. Sa psyché ayant été traumatisée, ce liquide ferreux semblait être une fascination malsaine. Nymphe passionnée par les tueurs en séries, l’anamnèse de sa génitrice l’avait amené dans une descente aux enfers des plus insidieuses. Ses écrits, Maureen les avait dévoré. Une fois, puis deux — puis huit. Elle connaissait les ouvrages de sa procréatrice par cœur, et l’intérêt qu’elle portait aux tueurs en série et aux films d'horreur était inhumain. Si le commun des mortels avait des passions ordinaires, Maureen ne jurait que par les meurtriers et les films de genre — épouvante et gore où s'entremêlent cris et hémoglobine. La môme Prescott était une véritable encyclopédie, une vraie mine d’informations concernant les pires massacres qui s’étaient déroulés aux quatre coins des États-Unis. Inquiétant évidemment sa mère, elle qui avait côtoyé plusieurs de ces monstres ne comprenait guère comment sa descendance pouvait leur trouver une quelconque légitimée ... DEVIL'S PLAYGROUND — en ses veines et artères, ne coulait pas seulement l’ADN de ses parents ; mais aussi quelque chose de plus vicieux. Au fond de ses entrailles, réside un gène. CDH13 : communément connu comme étant le gène des tueurs en série. Lorsque ses procréateurs le surent, le secret fût gardé. Scellé à jamais, cette dissimulation tua leur mariage. Ce n’est qu’à ses quinze ans, alors qu’elle cherchait un papier dans le bureau de sa génitrice, qu’elle tomba sur son analyse sanguine — découvrant ainsi le pot aux roses. Tandis que son obsession pour ce liquide vermeil et les meurtriers ne faisait qu’accroître, Maureen se demandait si tout cela ne faisait pas partie du processus habituel des futurs tueurs en séries. Et que, dans quelques temps, elle embrasserait sa vraie nature — désireuse d’enfoncer une lame dans de la chair humaine. Angoisses, terreurs et phobies — Maureen se révélant plus proche qu’elle ne le croit de ces monstres qu’elle adule ... GODS & MONSTERS — la môme Prescott semble avoir hérité du talent de sa mère concernant l’écriture. L’infante ne jure que par Stephen King, H.P Lovecraft et Egdar Allan Poe ; dont les écrits macabres la conforte dans l’idée qu’elle n’est pas seule. Pas seule à gribouiller des contes horrifiques ; des fictions à en faire pâlir les esprits saints. Si quelques unes de ses pulsions les plus violentes sont retranscrites sur le papier, Maureen aime à penser qu’écrire lui permet d'user de catharsis — lui permettant ainsi de ne jamais s’enfoncer dans des limbes méphitiques irréversibles. FIRE IN THE WATER — douce créature, Maureen reste une essence brisée. Si elle s’enchevêtre dans le sarcasme, l’effrontée est bel et bien ravagée par une noirceur qu’elle en sait contrôler. Elle a besoin de drames, d'effluves tragiques pour subsister. Tout ce qu’elle touche, elle le détruit — inconsciemment ou non. Parce qu’elle aime cela, parce qu’elle s’en délecte. Avec ce gène, elle ne mérite qu'une existence ô combien ignoble. Parce qu'elle est une bombe à retardement, un brasier pouvant se transformer en incendie. Tout, tout finit toujours mal. Le mariage de ses parents, sa complicité avec Jill. Le bonheur est éphémère, seuls les ténèbres sont éternels. | nom complet : maureen cox prescott, délicat sobriquet hérité de sa défunte grand-mère. surnom(s) : cox, patronyme dont l'affublait son paternel — aux antipodes des mots doux traditionnels. date de naissance : 31 octobre 2003, percée sardonique nommée halloween. lieu de naissance : woodsboro, maryland. nationalité et origines : géniteurs américains, cliché d'une nuclear family qui a implosé. situation civile : versatile créature, attirée par le sang et les scènes de crime. orientation sexuelle : it is the soul, not the aspect that one loves. études : âme errante de springwood high school. situation financière : transpire l'aisance financière. particularités : nyctophile, nymphette aux passions morbides tels que les films d’horreur et les tueurs en séries ; dotée du gène CDH13. description du caractère : cynique, intrépide, sarcastique, logique, impulsive, curieuse, auto-destructrice, inventive, réfléchie, passionnée, froide, sournoise, futée, loyale, observatrice, réservée, attentive. groupe : gonna stay up late. célébrité choisie : diana silvers. | | liens recherchés( m/f ) : the deadfast clubsix âmes, six essences — une nuée juvénile partageant une amitié fanée dont toutes les informations se trouvent ici. |
xander fowler
the weirdohaut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide. | |
| lilie spellman
the prom queenhaut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide. | |
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deandre branson
the loverboyhaut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide. | |
| elsie larson
the sweet creaturehaut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide. | |
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myers harvey
the outsiderhaut comme trois pommes, ainsi étaient-ils lorsqu’ils s’étaient rencontrés. Sur le banc de l’école maternelle, lieu où les liens se créaient — où les âmes se scellent. Deandre, Myers. Lilie, Elsie. Xander, Maureen. Six essences anthropiques liées pour la vie ; jusqu’à la mort. Ils ne savaient pas à quel point cette promesse qu’ils s’étaient faite lorsque Maureen avait déménagé alors qu’ils avaient huit ans aurait de l’importance des années plus tard. Chaque été, Maureen revenait chez son père. Ce qui renforçait leur lien, ô doux club des six. Malgré les années qui s'écoulaient, ils restaient soudés. Jusqu’à leur arrivée au lycée. Époque qui marqua le retour de Maureen à Springwood, emménageant chez son père. Première année, et tout vola en éclat. Chacun emprunta une voie différente ; aux antipodes l’une de l’autre. Deandre devint ce cliché de l’adonis, adulé et désiré. La gente masculine voulait lui ressembler, la gente féminine voulait être à son bras. Myers — cliché du bad boy. Celui qui fait les mauvais choix, qui prend des décisions douteuses. Qui erre dans les endroits peu fréquentables, qui s'injecte des substances illicites. Lilie — ô divin cliché de la garce. D’une grande beauté, celle qu’on jalouse autant qu’on déteste : vénus des temps modernes. Elsie ; cliché de l’intellectuelle. Douce, timide — un brin vindicative. Doté d’un cerveau extraordinaire, le genre de demoiselle qui finira à Harvard. Xander — le cliché du nerd. Attendrissant, décalé ; celui aux connaissances pop culture idyllique. Ainsi que Maureen — cliché de la nerd. Fille de l’incommensurable Sidney Prescott, elle n’est qu’obsession pour l'hémoglobine et les tueurs en série. Nuée ô combien joviale, une ombre s’invita au tableau. À la fin de leur première année de lycée, une festivité s’organisa. Alcools, ô flots délétères. Coulant dans les veines et artères des essences anthropiques, des erreurs furent commises — et Maureen et Myers s'unirent le temps d'une nuit. Si les esprits embués s'éveillant regrettaient l’acte, la révélation n’en fût que plus tonitruante. Brisant le cercle d'amis. La raison ? Certainement parce que Lilie était amoureuse de Myers ; lui qui n’avait jamais désiré lui prêter attention. Trahie, elle était entrée dans une colère noire sans expliquer la raison ; suivie de Deandre. Deandre dont l’amour de sa vie restait Maureen, depuis qu’ils avaient huit ans. Étrangement réciproque pour la concernée ; qui à force de de secrets, s’était voilée la face. À la rentrée de leur seconde année, le Breakfast Club n'était plus ; ayant été rebaptisé Deadfast Club par les âmes estudiantines. Parce qu’ils avaient tout détruit, parce que tout était fini. Étrangement, le terme Deadfast Club se révéla ô combien véridique avec le temps. Car, un soir, Elsie les avait réuni. Pour leur parler. Dès lors, ils remarquèrent des changements. Les traits de Myers s’étaient assombris, des cicatrices marquant sa peau. Xander et Maureen s’étaient rapprochés ; détenant les mêmes passions. Lilie et Deandre sortaient plus au moins ensemble, cruelle douleur. Et Elsie, elle, faisait des rêves. Enfin, des cauchemars — affreux, terrifiants. Elle n’arrivait plus à faire la part des choses, confondant réalité et imagination. Pourtant, les marques sur son corps prouvaient que cela n'avait rien d'un songe ; la rongeant petit à petit. Parce qu’elle savait que la fin était proche … et qu’elle finirait par se retrouver entre quatre planches si nul ne lui venait en aide. | |
| prénom nom
titre du lienlorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat. duis aute irure dolor in reprehenderit in voluptate velit esse cillum dolore eu fugiat nulla pariatur. excepteur sint occaecat cupidatat non proident, sunt in culpa qui officia deserunt mollit anim id est laborum. | |
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Dernière édition par Maureen Prescott le Dim 19 Avr - 22:09, édité 26 fois |
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